Cette année, nous avons reçu un mail d’une entreprise publique qui disait « Nous sommes tombés sous le charme du Grimoire de Mamie… On peut avoir le même ? »
Il y a les carnets de jeux quand on visite une ville ici ou un lieu historique ici aussi, ceux qu’on donnera sur des salons pour leur parler métier, filière (ici encore), goût (ici), espèces et espaces naturels (ici ou ici), inondation, un site industriel… tout peut être jeux et découverte !
Ce serait prétentieux de dire que c’est une de nos spécialités, mais avec un brin de fierté – et un peu moins d’humilité – avouons que nos carnets de jeux ont ce petit supplément qui, on trouve, change tout :
- Il y a toujours une histoire dans nos carnets. Une quête, une enquête, une énigme à résoudre : pour capter l’attention des enfants et attraper leur imaginaire et les inviter ainsi à aller jusqu’au bout : pour résoudre l’énigme finale !
- Ainsi, non seulement nos jeux sont variés (pitié… arrêtons les mots croisés), mais ils ont un double sens : quand l’enfant les résout il est acteur de ce qu’il a lu, vu, appris mais en plus il a un indice pour résoudre l’énigme finale. Cela demande plus de travail que de parsemer un rébus par ici et une charade par là, mais chez Ludodago on est courageux ! Guilhem et Léa ont un voisin très étrange, Camille et Léo cherche à trouver qui a volé la recette de leur oncle pâtissier, une vache s’est sauvée, Mamie a disparu et seul un grimoire au sol indique qu’elle était là…
- Ah oui… parce que nous avons toujours, aussi, des héros. Au moins deux, une fille et un garçon. Forcément : pour que nos lecteurs puissent se projeter dans des personnages qui leur ressemblent et sont un chouille plus grands, aussi, pour la dynamique aspirationnelle.
- Et un peu d’humour, toujours.
Il nous arrive, de ce fait, de mériter la confiance d’agences parisiennes, séduites par notre démarche, pour rédiger des carnets de jeux pour leurs clients.
Alors, en ce retour du salon de l’agriculture 2023 sur lequel on trouvait plusieurs créations/rédactions de Ludodago, nous avons pensé que ça méritait un focus.
Et sérieux.. on a adoré les aventures de Jean Bombeurre, le carnet de l’interprofession du porc. Faut savoir reconnaître quand les concurrents sont bons (c’est le cas de le dire).